Pfizer prévoit au moins 3 doses pour les enfants de 6 mois à 5 ans

Dans le cadre des essais cliniques en cours, Pfizer teste déjà la troisième dose sur les enfants âgés de 6 mois à moins de 5 ans. De là à imaginer une injection à la naissance, il n’y a qu’un pas. La machine à cash tourne à plein régime, pourquoi s’arrêter en si bon chemin ?

Cet « ajustement » ne doit pas avoir de conséquence sur le calendrier anticipé pour le dépôt d’une demande d’autorisation pour ces jeunes enfants âgés de 6 mois à 5 ans, prévue « au deuxième trimestre 2022 », a déclaré la responsable de la recherche pour les vaccins au sein du groupe. Pfizer a également annoncé vendredi avoir commencé des essais sur 600 adolescents de 12 à 17 ans pour tester leur troisième dose (juste quelques semaines avant de les injecter ?).

On peut être pro-vax Covid en tant qu’adulte pour diverses raisons, il y a quand même une chose qui doit nous interpeller dans cette folie vaccinale non justifiée pour les plus jeunes. De nombreux éminents spécialistes ont toujours affirmé que les essais d’un vaccin sur les enfants nécessitaient au moins 5 ans pour s’affranchir notamment des effets indésirables graves. Avec Pfizer, en quelques semaines l’affaire est pourtant pliée et ils obtiennent les autorisations sans aucun engagement de responsabilité. Ça doit quand même sérieusement « arroser », non ? Un exemple parmi beaucoup d’autres : le Dr Yazdan Yazdanpanah, membre de notre fameux conseil scientifique Covid-19 et chef du service des maladies infectieuses à l’hôpital Bichat à Paris, a reçu, depuis 2012, pas moins de 130 000 euros de l’industrie pharmaceutique, en avantages ou rémunérations.

Les parents accepteront-ils de faire courir ce risque à leurs gosses sous le simple prétexte qu’ils seraient privés de quelques libertés et alors même qu’ils sont conscients que l’injection ne permet pas d’éviter la contamination et surtout de contaminer les autres ?

En France, on sait désormais qu’une majorité de parents s’oppose (pour le moment tout au moins) à l’injection de leurs bambins de 5 à 11 ans. Quelle stratégie perverse adoptera notre gouverne-ment pour les contraindre ? On a déjà l’expérience des adultes (pass sanitaire, pass vaccinal etc) ; ne doutons pas que ce soit donc déjà prévu. Voulez-vous pariez qu’on nous annoncera bientôt des enfants non vaccinés en réanimation ? Le trio Macron/Véran/Castex n’en n’est plus à un mensonge près, et les médias gouvernementaux relaieront l’info en boucle et sans scrupule puisqu’il en va de leur survie financière. La peur a déjà fait ses preuves chez les adultes, et ça marche toujours !

Dans un rapport parlementaire de la Cour européenne des droits de l’homme de 2010 sur la pandémie de 2009, les parlementaires demandent à une représentante de l’industrie pharmaceutique : « Comment fait-on pour vendre des vaccins ? ». Réponse : « Grâce à la peur ».