
Nos médias nationaux français se sont abstenus d’en parler et pourtant la protestation en Australie a atteint des sommets. Ce qui est diabolique, c’est que le gouvernement australien a empêché les médias de montrer des images des manifestations pendant qu’elles se déroulaient, et a restreint l’espace aérien pour empêcher les hélicoptères des médias de filmer. Il est également désormais illégal de planifier, de rendre public ou de participer à des manifestations.
Dans une vidéo qui circule sur les médias sociaux, deux policiers se présentent à la porte d’un citoyen australien pour lui demander s’il a participé à une manifestation contre le confinement il y a six mois.
Mais comme l’ont montré les récentes manifestations de grande ampleur qui ont secoué un certain nombre de villes australiennes, les tactiques d’intimidation de la police et de l’État ne feront qu’entraîner un retour de bâton féroce lorsque les citoyens diront finalement « assez » et envahiront les rues.
Un autoritarisme qui va au-delà de l’hystérie du COVID
Le parlement australien a adopté un nouveau projet de loi éradiquant le droit des Australiens à la vie privée numérique. Il confère à la police fédérale australienne (AFP) et à la Commission australienne du renseignement criminel (ACIC) de nouveaux pouvoirs étendus leur permettant non seulement de surveiller les citoyens australiens en ligne, mais aussi de prendre le contrôle et de gérer leurs comptes en ligne, de verrouiller le compte de l’utilisateur réel et d’ajouter ou de supprimer des données.
Le droit de voyager, le droit de manifester, le droit à la vie privée, le droit à une procédure régulière, le droit de quitter son domicile et de gagner sa vie – ce sont des droits humains fondamentaux qui ont disparu en Australie.
Il devrait être évident pour tout citoyen d’une nation occidentale que des « pouvoirs d’urgence » sans fin peuvent facilement se transformer en une véritable dictature. Il n’y a aucune raison pour que cela n’arrive pas aussi à d’autres nations autrefois libres.
[Source] https://www.aubedigitale.com/letonnante-tyrannie-australienne-ne-cesse-de-setendre/
https://www.aubedigitale.com/regardez-la-police-australienne-interroge-un-citoyen-sur-le-pas-de-sa-porte-pour-avoir-publie-sur-facebook-il-y-a-six-mois-des-messages-contre-le-confinement/
CNN a mis fin à l’exploitation de ses pages Facebook
Après que le plus haut tribunal d’Australie a statué au début du mois que les éditeurs étaient légalement responsables des commentaires faits en dessous des articles, CNN devient le premier grand organisme de presse à cesser de publier sur Facebook.
[Source] https://www.aubedigitale.com/cnn-va-cesser-de-publier-sur-facebook-en-australie-apres-que-les-medias-doivent-assumer-la-responsabilite-des-commentaires-de-leurs-lecteurs/
Le scandale des pots-de-vin de Big Pharma éclate en Australie
Plus d’une demi-douzaine de membres du personnel du Premier ministre australien de Nouvelle-Galles du Sud, Gladys Berejiklian, ont démissionné, honteux d’avoir été impliqués dans un vaste système de corruption lié au coronavirus de Wuhan (Covid-19).
Mme Berejiklian et ses camarades auraient reçu des dizaines de millions de dollars de la part de Big Pharma en échange de la promotion de mesures de confinement et maintenant de “vaccins”, détruisant ainsi d’innombrables vies et entreprises.
Selon un ancien membre du Parlement australien, Pfizer et AstraZeneca ont tous deux payé des lobbyistes pour imposer des vaccins à la population, assurant ainsi un flux constant de profits mal acquis.
Clive Palmer, chef du Parti de l’Australie unie, affirme qu’on a promis à Mme Berejiklian qu’elle ne serait pas inculpée dans le cadre d’une enquête sur la corruption si elle imposait un mandat de vaccination. Elle aurait accepté cette offre, et a depuis démissionné de son poste.
Il y a fort à parier que ce n’est que la partie émergée de l’iceberg, et que d’autres inculpations et démissions sont à venir, tant en Australie qu’à l’étranger. Peut-être que toutes ces révélations mettront bientôt un terme aux mandats de vaccination.